• Les semences

    25,00 

    par TURNER, Michael

    Durant des milliers d'années, la production et la circulation des semences ont largement contribué au progrès de l'agriculture. Les hommes ont cherché à améliorer les performances des cultures en réservant les graines des plantes donnant les meilleurs rendements. Au XXe siècle, les progrès de la génétique ont accéléré considérablement cette évolution et ouvert de nouvelles perspectives à l'amélioration des plantes.

    Cet ouvrage présente les aspects techniques et l'organisation de la production des semences, avec une attention particulière aux conditions tropicales, plus exigeantes que celles des milieux tempérés. Il aborde les principes de l'amélioration des plantes et de la biologie des semences ainsi que la gestion des opérations liées à la production, à la récolte et au conditionnement post-récolte des semences en vue de maintenir un haut niveau de qualité. Il traite également des procédures d'assurance-qualité, des règles de mise en marché des semences et de la gestion des entreprises semencières. Tout en mettant l'accent sur les grandes cultures, notamment les céréales et les légumineuses, l'auteur s'intéresse également aux productions de semences de cultures plus spécialisées, telles que celles des plantes potagères et des plantes fourragères. Outre l'intérêt qu'il présente pour les agriculteurs eux-mêmes, cet ouvrage sera une aide pour tous les professionnels de la distribution de semences sélectionnées au travers de petites entreprises, de groupements de producteurs ou de coopératives. A propos des auteurs

    Michael TURNER , consultant dans le domaine des semences, a été directeur d'un cycle de formation en technologie des semences à l'Université d'Edimbourg et chef de la division semences de l'Icarda en Syrie.

    Henri FEYT est le traducteur de cet ouvrage. Agronome-généticien, il a été enseignant-chercheur en amélioration des plantes à l'université Paris XI-Orsay, puis a exercé des responsabilités au sein d'un institut français (ITCF-Arvalis), d'une entreprise privée de sélection et du Cirad.
  • par GILLET, Robert

    "Robert Gillet, par son admirable don d'auteur, nous plonge dans cette pièce animée du grand théâtre de la Science ! Tous ceux qui auront la chance de lire ce livre, ne l'oublieront jamais !" C'est ainsi que le professeur Arsène Burny termine la préface de cet ouvrage, lequel nous relate l'histoire des dix-huit mois qu'ont mis Crick et Watson pour élucider la structure chimique de l'ADN, acide désoxyribonucléique. Découverte qui n'a d'égales que celles de Galilée, Newton, Darwin ou Einstein. Histoire d'une démarche scientifique, que l'auteur a tenté de mettre à la portée du grand public. Histoire surtout d'une tranche de vie(s) qui a tout du roman. Pour la raconter, l'auteur l'a semée de nombreux et vigoureux dialogues. Histoire de deux chercheurs que la destinée réunit pour assouvir la passion qui les dévorait : percer un mystère, profond pour beaucoup, sacré pour certains : le Secret de la Vie. Nous sommes en 1951, dans l'inconfort anglais de l'après-guerre. Chez les biologistes, et tout qui se donne la peine de réfléchir, se pose toujours la question de savoir pourquoi nous sommes des humains et pas des souris, pourquoi nos enfants sont eux aussi des humains, et pas des hirondelles. Deux chercheurs de l'Université de Cambridge, Francis Crick et James Watson, décident de s'y attaquer. Les étapes de la recherche apparaissent successivement dans l'ouvrage, on voit comment peut progresser une réflexion. Mais ce qui passionne également est le côté humain de l'aventure : elle fut un vrai roman. Rien n'a manqué : la soif de découvrir, l'ambition, la rivalité, l'amitié mais aussi l'exécration, et plus tard la polémique. La tragédie même, avec la disparition prématurée d'une des protagonistes. Aussi dissemblables qu'ils soient, réunis par le plus grand des hasards, Francis Crick et James Watson vont former une paire étonnamment complémentaire, quasi fusionnelle. Et pourtant pour eux les choses ne sont pas simples au Cavendish, le laboratoire de physique de Cambridge ; ils y font figure de francs-tireurs. Engagés pour d'autres tâches c'est dans une semi-clandestinité qu'ils s'informent et réfléchissent. Et quand ils s'égarent ils ne doivent compter que sur eux-mêmes.

    A propos de l'auteur

    Robert GILLET est ingénieur chimiste et des bioindustries, diplômé en 1955 de la Faculté des Sciences agronomiques de Gembloux. Il a oeuvré durant sa carrière dans le contrôle officiel des denrées alimentaires.

  • par DOUCET, Jean-Louis (coord.) ; VERMEULEN, Cédric (coord.) ; De VLEESCHOUWER, Jean-Yves (coord.) ; NZOYEM SAHA, Nadège (coord.) ; JULVE LARRUBIA, Cecilia (coord.) ; LAPORTE, Jérôme (coord.) et FEDERSPIEL, Michèle (coord.)

    Le Cameroun est le pays pionnier de la foresterie communautaire en Afrique centrale. En promulguant, en 1994, une loi autorisant les communautés locales à gérer elles-mêmes leurs forêts, l'état s'engageait dans un long processus de décentralisation.

    L'asbl Nature+, l'ONG SNV et Gembloux Agro-Bio Tech (Université de Liège) furent parmi les premiers acteurs à accompagner les communautés rurales dans leurs démarches d'autogestion. En 2010, ces trois organisations, grâce à un financement du Fonds Forestier du Bassin du Congo, ont mis en commun leurs expériences au sein du projet "Partenariats pour le Développement des Forêts Communautaires". Ce projet a appuyé le développement technique, institutionnel et organisationnel de regroupements de forêts communautaires dans trois zones (Ngambé Tikar, Lomié et Ebolowa). Visant le renforcement des capacités selon le principe de "l'apprentissage par l'action encadrée", le projet a permis de rendre les associations locales davantage autonomes.

    Ce livre nous fait découvrir le quotidien des forêts communautaires dont il expose sans ambages les forces et les faiblesses. Richement illustré, il prend le pari que la beauté des images suscitera intérêt et questionnement.

  • par Planète Femmes Introduction (extrait)

    "Ils étaient huit et venaient de pays différents et éloignés : Gabon, Iran, Niger, Tunisie, Centrafrique, Pérou ; une participante était belge. Ils s'appelaient Nadège, Jean-Urbain, Leila, Wahida, Prisca, Michelle, Caroline et Juliane. C'était comme si une partie du monde se retrouvait dans un local de la Maison Nord-Sud, penchée sur des feuilles, à écouter sa voix intérieure, à écrire, à se dire et se lire... Tous les participant(e)s ont pris le risque de coucher les mots sur la feuille, de parler de leur vie, de leurs sentiments, parfois de leur nostalgie. Le résultat est dans ce livre : des textes vrais, simples, étonnants". J. De Ridder.

  • par VERHEGGE, François (éd.) ; BOGAERT, Jan (éd.) et HAUBRUGE, Eric (éd.)

    Cet ouvrage reflète les réalisations et activités scientifiques du projet de coopération universitaire "Gestion et Valorisation durable du ver à soie endémique Borocera cajani en milieu forestier dans la région d'Antananarivo" financé par la Commission Universitaire pour le Développement (CIUF-CUD). Une première section de l'ouvrage porte sur les aspects biologiques et écologiques des vers à soie à Madagascar - avec l'accent sur la landibe (Borocera cajanus Vinson, 1863). La deuxième section étudie les dimensions écologiques et botaniques de l'habitat du ver à soie, à savoir les formations de tapia (Uapaca bojeri Baill.), principalement à travers les aspects sylvicoles et botaniques, les causes et indicateurs de sa dégradation, etc. La troisième section renseigne sur la valorisation de la filière soie et couvre une diversité d'approches, allant de l'inventaire des ressources sauvages comestibles et leurs caractéristiques chimiques, passant par le rôle de la soie dans l'économie rurale, allant jusqu'aux connaissances et savoir-faire des communautés locales. Le contexte socio-institutionnel ainsi que les interactions entre les acteurs concernés par la filière complètent ce volet. L'ouvrage est composé de 21 contributions scientifiques, rédigées par 33 auteurs ; plusieurs ont déjà fait l'objet d'une publication ailleurs. Ce livre s'adresse à tous ceux passionnés par la biodiversité et la société malgache, et par la valorisation potentielle des ressources naturelles et socioculturelles uniques de la Grande Ile dans la perspective du développement durable.

    This book (Malagasy silkworms. Ecological and sociological issues) reflects the achievements and scientific activities of the university cooperation project for the 'Management and sustainable enhancement of the endemic silkworm Borocera cajani in a forested area of the Antananarivo region" 'financed by the CIUF-CUD (University Development Cooperation in Belgium). The first section of the work deals with the biological and ecological aspects of silkworms in Madagascar-with emphasis on landibe (Borocera cajanus Vinson, 1863). The second section studies the ecological and botanical dimensions of the habitat of the species, namely, tapia formations (Uapaca bojeri Baill.), by focussing on the silvicultural and botanical aspects, the causes and indicators of its decline, etc. The third section provides information about the valorization of the silk industry and covers a variety of approaches including the compilation of an inventory of edible wild plant resources and their chemical characteristics. This section also looks at the role played by silk in the rural economy, and the knowledge and skills of local communities. The third section ends by taking a look at the socio-institutional context as well as interactions between the players involved in the industry. This work comprises 21 scientific contributions written by 33 authors ; some of them are in english and all the abstracts are written in french and in english. Several chapters have already been published elsewhere. This book is aimed at all those who are passionately interested in Malagasy society and biodiversity, and the potential value of this large island in the context of sustainable development.

  • Illustration de l'armorial des abbés par LEGROS, Guy, LEGROS, Hervé et CORBISIER, Sylvie

    L'ouvrage reprend, outre des notions d'héraldique, les explications sur l'origine des vitraux du cloître de l'ancienne abbaye. Les blasons des anciens abbés de Gembloux, peints par Monsieur Albert Huart, sont reproduits en couleur à côté des photographies des vitraux qui leur correspondent.

    Ouvrage en coédition avec le Cerce Royal "Art et Histoire" de Gembloux à l'occasion du 150e anniversaire de la Fondation de Gembloux Agro-Bio Tech, anciennement Faculté universitaire des Sciences agronomiques.
  • L'ouvrage est épuisé

    Illustré d'extraits littéraires par HOYOUX, Jean-Marie

    C'est au cours de ses nombreuses lectures et de ses contacts réguliers avec les apiculteurs, professionnels et amateurs, que l'auteur réalise l'importance d'un vocabulaire spécifique précis, utilisé à bon escient et commun à tous les interlocuteurs. De plus, sa curiosité et son intérêt pour cet insecte étonnant, que l'homme exploite et admire depuis la nuit des temps et dont il a toujours cherché à percer les secrets, l'incite à noter, au hasard de lectures non-professionnelles, les allusions, citations, comparaisons faisant appel aux ressources imagées du langage apicole. Le présent ouvrage offre donc aux amateurs d'abeilles un livre de référence sérieux, reprenant le vocabulaire touchant de près ou de loin, le monde apicole. Une attention toute particulière a été accordée pour éviter, dans les définitions et commentaires, tout finalisme et anthropomorphisme si bien dénoncés par l'entomologiste et apidologue Paul Dessart. Chaque terme est défini de façon précise, replacé dans son contexte, parfois accompagné d'une illustration ou d'une citation littéraire. Les expressions locales, patoisantes ou vieillies, les variantes orthographiques, se retrouvent aussi et l'auteur n'hésite pas à conseiller de bannir les termes inappropriés. Enfin, les équivalents en anglais sont fournis, chaque fois qu'ils existent, ce qui sera apprécié.

    A propos de l'auteur

    Jean-Marie HOYOUX est né à Liège (Belgique). Diplômé ingénieur agronome de la Faculté universitaire des Sciences agronomiques de Gembloux en 1974, il complète sa formation par un certificat en économie et sociologie rurales et un certificat en statistiques appliquées à Gembloux ainsi que par un D.E.S. "Former des adolescents aujourd'hui" à l'Université libre de Bruxelles. Envoyé au Nigeria comme expert-associé FAO dans un projet de promotion des cultures vivrières, il y enseigne aussi l'économie rurale à l'International Institute of Tropical Agriculture et la langue française aux étudiants de l'Université d'Ibadan. De retour en Belgique, il est d'abord chercheur au Centre de Recherches agronomiques de Gembloux puis professeur à l'Athénée royal de Philippeville (section agriculture) et ensuite à l'Institut technique horticole de Grand-Manil, renouant ainsi à temps plein avec sa vocation de pédagogue. Par ailleurs, depuis toujours passionné par le monde des abeilles, devenu un apiculteur amateur chevronné, il va tout naturellement partager son expérience, et l'enrichir, en devenant en 1981 professeur conférencier aux Écoles d'Apiculture de la Région wallonne. Très apprécié de ses élèves et de ses pairs, il est depuis mars 2001 secrétaire de l'Union royale des Ruchers wallons et depuis octobre 2001 président des Amis des Abeilles de Huy.

  • par BOGAERT, Jan (éd.) et HALLEUX, Jean-Marie (éd.)

    Nous assistons actuellement au peuplement des zones périurbaines de la planète par des centaines de millions d'individus. Cette évolution pose de redoutables problèmes et des difficultés inédites pour les politiques publiques. Si les effets de la périurbanisation sont relativement bien connus dans les pays du Nord, les analyses dédiées aux pays du Sud sont bien moins développées. L'ouvrage "Territoires périurbains : développement, enjeux et perspectives dans les pays du Sud" permet de lever un coin du voile sur cette problématique et sur les grands défis que la périurbanisation pose pour le Sud en général et pour l'Afrique centrale en particulier.

    L'ouvrage débute en cherchant à clarifier ce qu'il faut exactement entendre par "territoire périurbain". A la suite de cette mise en contexte, il se poursuit par cinq parties organisées autour des problématiques des ressources naturelles, de la sécurité alimentaire, de la santé publique, des services publics et de l'aménagement des territoires. Pour chacune de ces problématiques, des chercheurs spécialisés issus de disciplines variées apportent des contributions qui, tout en soulignant l'ampleur des défis, permettent la mise en avant de solutions innovantes pour améliorer la gouvernance et le bien-être des populations.

    Cet ouvrage s'adresse d'abord aux chercheurs préoccupés par les défis du développement. En parallèle, par les pistes pour l'action publique qu'il esquisse, il ne manquera pas d'également intéresser les décideurs et les praticiens qui opèrent dans le contexte des territoires périurbains des pays du Sud.

Aller en haut