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Transparents par ROBERT, Jocelyne BLOC 1 du grade de Bachelier en Sciences économiques et de Gestion BLOC 2 du grade de Bachelier en Sciences humaines et sociales, Sociologie et Anthropologie BLOC d’aménagement au Master en Sciences de Gestion Sciences de la Santé publique
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Théorie par HAESBROECK, Gentiane BLOC 1 du grade de Bachelier en Ingénieur de Gestion
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Dossier de lectures par DEFOURNY, Jacques BLOC 1 du grade de Bachelier en Information et Communication, Sciences politiques BLOC 1 du grade de Master en Communication multilingue
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par DEFOURNY, Jacques BLOC 1 du grade de Bachelier en Information et Communication, Sciences politiques BLOC 1 du grade de Master en Communication multilingue
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Exercices par HAESBROECK, Gentiane BLOC 1 du grade de Bachelier en Ingénieur de Gestion
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Exercices-Série B par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Ingénieurs de Gestion
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Énoncés des exercices par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Sciences économiques et de Gestion
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par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Ingénieurs de Gestion
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par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Sciences économiques et de Gestion
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Stock épuisépar LIÉGE GAME LAB
Le jeu vidéo est une pratique culturelle qui s’inscrit désormais dans notre quotidien. Déjà étudié depuis plusieurs décennies dans le monde anglo-saxon, il a plus récemment fait son entrée comme objet de recherche dans les universités francophones. Dans ce volume, le Liège Game Lab propose, à travers huit courts textes, de multiples éclairages tant sur le jeu lui-même que sur les pratiques qui lui sont associées.
Créé en janvier 2016, le LIÉGE GAME LAB rassemble les chercheurs et chercheuses de l’Université de Liège travaillant sur le jeu vidéo comme objet culturel.
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Les architectes face aux imaginaires de la friche de Bavière
par Pavel KUNYSZ - Préfacier : Yves WINKIN
Si la ville est faite du croisement d’individus et d’actions, de ses pavés et de ses briques, comment penser les friches ? Ces « vides », accrocs dans le tissu bâti. Le lieu rasé, son histoire oubliée, l’échec de l’œuvre urbaine serait-il signé ? En retraçant l’histoire sociale de la friche de Bavière, cet ouvrage vise d’abord à révéler à quel point ces « vides » sont « pleins ». Pleins de vestiges d’un passé persistant ; pleins aussi d’une variété de représentations de ce lieu et de sa transformation, mêlant passés semi-remémorés et accumulation de futurs hypothétiques. Est alors interrogé le rôle des architectes dans la (non) perpétuation de ces représentations. Les concepteurs de nos lieux de vie, aux prises avec leurs propres contraintes, s’avèrent-ils incapables de maîtriser et de saisir ces mécanismes ? Quelles (autres) attentes peut-on nourrir quant à la responsabilité sociale et politique de ce métier?
Pavel KUNYSZ, architecte et sociologue; animateur et rédacteur au sein de l’ASBL urbAgora pour le débat citoyen sur la ville.
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A review of 2017 par Caroline ZICKGRAF, Elodie HUT, François GEMENNE (eds.)
This volume is the eight in the annual series and the third of its kind published with the Presses Universitaires de Liège. The State of Environmental Migration aims to provide its readership with the most updated assessments on recent events and evolving dynamics of environmental migration throughout the world. Each year, the editors select the best graduate student work from the course “Environment and Migration”, taught by François Gemenne and Caroline Zickgraf at the Paris School of International Affairs (PSIA) of Sciences Po. Presented in this edition are displacements induced by some of the most dramatic disaster events of 2017, including Hurricane Irma and Cyclone Enawo, as well as analyses of migration flows related to a variety of environmental occurrences throughout the year spanning the globe. SEM 2018 thus represents another stepping stone towards understanding how the adverse effects of climate change and disasters alter migration patterns.
Caroline ZICKGRAF is the Deputy Director of the Hugo Observatory as well as Post-doctoral Fellow with the Belgian Fund for Scientific Research (F.R.S.-FNRS).
Elodie HUT is a Research Assistant at the Hugo Observatory.
François GEMENNE is the Director of the Hugo Observatory at the University of Liège, where he is a senior research associate with the Belgian Fund for Scientific Research (F.R.S.-FNRS).
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Échanges et réflexions à partir de Liège par Rachel BRAHY, Élisabeth DUMONT, Pierre FONTAINE et Christine RUELLE (dir.)
Regarder la ville. Encore. Inlassablement. Se laisser traverser par ses images, démultiplier les regards. Après tout, comme l’écrivait Baudelaire, « la forme d’une ville change, hélas, plus vite que le coeur d’un mortel». Prenant au sérieux l’enjeu de la fabrique quotidienne de la ville, cet ouvrage assemble des lectures décalées où le décryptage des mots s’offre comme autant de « paires de lunettes » successives. Vingt-trois acteurs de terrain et chercheurs « liégeois » aux compétences diverses ont été invités à dialoguer par groupes de deux ou trois pour produire les différents chapitres qui composent ce volume. De manière inédite, il leur a été demandé de partager leurs points de vues. Ceux-ci constituent des éclairages croisés sur des problématiques urbaines à la fois localisées et plus générales. Les récits et analyses portent sur neuf qualités régulièrement attendues et entendues d’une ville contemporaine « digne de ce nom », à savoir la ville 1) co-produite, 2) inclusive, 3) multi- interculturelle, 4) créative, 5) artistique, 6) commerçante, 7) dense, 8) intelligente ou 9) verte. À travers ces qualificatifs qu’ils interrogent, déconstruisent ou débattent, les auteurs abordent de nombreux aspects transversaux de la « fabrique de la ville » : le pouvoir, l’argent, l’identité et les identités, l’accessibilité, les échelles d’intervention… Le tout se réfère à des réalités et des enjeux considérés comme pertinents pour l’aire urbaine de Liège. Cette entreprise singulière d’analyse et d’écriture donne donc à voir (et à revoir) des mots et une ville en perpétuelle mutation.
Rachel BRAHY, Docteure en sciences politiques et sociales, Maison des Sciences de l’Homme de l’Université de Liège et chercheure F.R.S.-FNRS. Élisabeth Dumont, Conseillère stratégique et gestionnaire de projets interculturels à la Ville de Liège ; vice-présidente de la coalition européenne des villes contre le racisme de l’Unesco.
Pierre FONTAINE, conseiller en urbanisme, logement et développement territorial à la Ville de Liège.
Christine RUELLE, Chercheuse senior en urbanisme et aménagement du territoire à l’Université de Liège, Laboratoires Lema - Urban and Environmental Engineering Department et Lepur.
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par Jacques ARON
En raison de leur destin singulier, les populations juives occupent dans l’imaginaire des peuples une place inversement proportionnelle à leur importance numérique. Voici près d’un siècle et demi, que le néologisme « antisémitisme », succédant à l’expression « question juive » et à la problématique de l’« émancipation des Juifs », est entré dans le langage courant, et s’est répandu d’un pays à l’autre pour désigner une forme de haine ethnique, de xénophobie, dont le caractère prétendument naturel a favorisé l’inflation sémantique, se projetant du passé le plus lointain vers l’avenir le plus incertain. Cet essai tend à lui rendre ses dimensions historiques, en rappelant le rapport permanent que la langue entretient avec les autres aspects de la réalité, avec les conditions matérielles d’une humanité en constante mutation. Il en analyse les nuances, notamment chez les auteurs qui ont voulu en écrire l’histoire, tels Edmond Picard, Bernard Lazare et Léon Poliakov. Il questionne la nature de leur démarche, entre théologie et discours politique, entre idéologie et contribution aux sciences sociales.
Jacques ARON (Anvers, 1933) est architecte et urbaniste. Il a enseigné l’histoire et la théorie de ces disciplines. Il est professeur honoraire de l’Enseignement supérieur. Issu d’une famille d’émigrés juifs d’Europe centrale et orientale, il a depuis vingt ans consacré plusieurs ouvrages à la condition juive, particulièrement dans les pays de culture germanique. Il a traduit et présenté deux philosophes allemands d’origine juive persécutés par le nazisme, et analysé le principal dictionnaire étymologique allemand conçu comme un projet linguistique national-socialiste.
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par Rachel BRAHY et Élisabeth DUMONT (dir.)
D-I-V-E-R-S-I-T-É. Neuf lettres pour écrire un mot et bien plus qu’un mot : un enjeu fondamental de la vie en société. Égrenant chaque lettre de ce concept autour d’un chapitre spécifique, cet ouvrage est construit sur le principe du dialogue, du regard croisé à chaque fois posé entre un chercheur et un acteur spécialiste du terrain. Neuf mots, neuf concepts sont alors abordés pour éclairer cette diversité autour de thèmes : Discrimination, Intégration, Vie sociale, Extrême droite, Racisme, Stéréotype, Immigration, Territoire, Ethnicité et Classes sociales. Autant de mots souvent entendus, parfois galvaudés qui se retrouvent ici interrogés, débattus et argumentés, sous un regard neuf et original, à partir d’une approche interdisciplinaire. Tour à tour, le thème de la diversité est présenté au défi de sa gestion et de sa gouvernance, renvoyé à la question de la justice sociale, interpellé par la montée des peurs et des dérives les plus sombres. Liés aux tensions entre le social et l’économique, au poids des normes, à la question des identités, au jeu des oscillations entre visibilité et invisibilité, aux jeux de pouvoir et à la perte de souveraineté des États, les enjeux abordés et les niveaux de lecture sont multiples. Ils se laissent alors approcher pas à pas, pour mieux en saisir la dynamique.
Docteure en sciences politiques et sociales, Rachel BRAHY est actuellement coordinatrice scientifique de la Maison des Sciences de l’Homme (MSH) et maître de conférences en Faculté des Sciences Sociales de l’Université de Liège.
Maître en relations internationales et développement, Élisabeth DUMONT est actuellement conseillère stratégique et gestionnaire de projets interculturels à la Ville de Liège et vice-présidente de la coalition européenne des villes contre le racisme de l’UNESCO.
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par COLLECTIF SOMMAIRE N°117-118 3- Intentions et objectifs THÈMES 7- Stéréotypage médiatique et objectivation de la représentation sociale des migrants Pascal Moliner, Julien Vidal et Joëlle Payet 25- Solomon Asch, critique de la doctrine de la suggestion et des influences arbitraires aliénantes Stéphane Laurens, Mickael Ballot et Anna Saenco 47- Étude d’une table-ronde traitant de l’impact de l’exploitation du gaz de charbon sur l’environnement Valérie Saint-Dizier de Almeida, Emmanuèle Auriac-Slusarczyk, Christine Roland-Lévy et Yann Gunzburger 71- Le régime : une affaire de femme et non d’homme ? Influence des représentations sociales sur la description et la nomination des pratiques de contrôle alimentaire Mathilde Lavrilloux et Estelle Masson
OPINIONS ET POINTS DE VUE
99- La théorie du choix rationnel dans ses deux grandes versions : une représentation faussée du fonctionnement psychique humain Hervé Mauroy
SCIENCE-ACTION GROUPALE ET TECHNIQUES D’ANIMATION 121- Les phénomènes de groupe Yves Bodart 147- Contribution de la dynamique des groupes à la gestion de situations difficiles dans le groupe-classe Luc Peeters 181- Consignes aux auteurs 185- Bulletin d’abonnement 2018 -
par COLLECTIF SOMMAIRE N° 116 317- Intentions et objectifs
THÈMES
321- Relations sociales et cartographie cognitive. Les points de référence comme noyau central des représentations spatiales Pierre Dias et Thierry Ramadier 351- Mémoire collective et émotions : l’influence de l’implication personnelle. Étude sur le souvenir du meurtre de Clément Méric Jean Louis Tavani et Julie Collange
SCIENCE-ACTION GROUPALE ET TECHNIQUES D’ANIMATION
377- Analyse de la demande en formation : structuration de l’entretien et préoccupations du formateur Daniel Faulx et Cédric Danse 407- Le travail par projets : quels risques psychosociaux ? Contraintes, ressources, stratégies Mickael Heck et Daniel Faulx
425- Consignes aux auteurs
427- Bulletin d’abonnement 2018 -
Stock épuiséPatrimoine écrit, témoin de l’histoire par Cécile OGER, Stéphanie SIMON et Paul THIRION (dir.) A propos du livre :
Quel peut être le point commun entre des œuvres aussi diverses que la Guerre des Gaules, les Fables de La Fontaine, l’Evangéliaire d’Averbode et les aventures de Sibylline ? À première vue, aucun. Pourtant, ces œuvres ont toutes marqué leur époque, à leur propre échelle et dans des domaines divers. Elles constituent toutes également une trace de notre Histoire, témoins d’un certain passé, d’un autre temps. Elles ont également pour point commun d’être parvenues jusqu’à nous. L’écrit reste, mais il vit. Il est créé, relu, validé ; il est modifié, corrigé, transformé. Il se transmet, voyage, circule. Officiellement, souvent ; sous le manteau, parfois. Quelquefois même, il est interdit, censuré. On le cache, on le brûle. Mais trop tard : il a été lu. Il peut donc être recopié et reprendre sa route. À travers l’espace, comme à travers le temps. Siècle après siècle, l’Homme a conservé ces traces écrites de son passé, pour constituer une histoire, se forger une mémoire et transmettre savoirs, croyances et idées à ses successeurs. Pour interroger le rapport de l’Homme à l’écrit, l’exposition « Empreintes » aborde huit facettes de l’écrit illustrées par une centaine d’œuvres, de l’Antiquité à nos jours. Comment l’homme a-t-il conservé la mémoire de sa propre histoire ? Quels sont ces savoirs et ces œuvres qui ont franchi les siècles et ceux dont la transmission a été interdite ? Comment l’homme a-t-il mis par écrit son état de la connaissance du monde, au fil de ses explorations, de ses expériences ? Les œuvres présentées proviennent essentiellement des collections des Bibliothèques de l’Université. Elles sont accompagnées d’autres exemples prêtés par l’Université de Gand, le Musée des Beaux-Arts de Liège / La Boverie, le Musée Wittert et le CEDOPAL.
A propos des auteurs :
Cécile OGER Historienne de l’art de formation et spécialisée dans l’étude technologique et archéométrique des peintures anciennes, elle est conservateur responsable des fonds patrimoniaux du Réseau des Bibliothèques de l’ULiège.
Stéphanie SIMON Historienne, elle s’intéresse à la propagande et à l’iconographie de presse. En 2010, elle entre dans les Bibliothèques de l’ULiège, en charge de la définition et de la mise en oeuvre d’une politique de numérisation. À ce titre, elle coordonne également DONum, le Dépôt d’Objets Numérisés de l’Université.
Paul THIRION Psychologue de formation, il entre dans les Bibliothèques de l’Université de Liège en 1985 dont il devient bibliothécaire en chef en 2013. Il est également président de la Commission Bibliothèques et Services académiques collectifs de l’ARES après avoir été président de la Bibliothèque interuniversitaire de la Communauté française de Belgique (BICfB). Outre l’information literacy, ses principales préoccupations concernent le développement de la Bibliothèque numérique et plus spécifiquement de l’accès libre et ouvert pour tous à l’information scientifique (Open Access).
Cet ouvrage est édité à l’occasion de l’exposition « Empreintes. Patrimoine écrit, témoin de l’Histoire », présentée à La Cité Miroir (Liège) du 21 avril au 20 juillet 2018. L’exposition est organisée conjointement par les Bibliothèques de l’Université de Liège et l’asbl MNEMA, dans le cadre du Bicentenaire de l’ULiège. -
Petites et grandes histoires par Olivier HAMAL - Préface de Jean-Marie KLINKENBERG
Entre le Clos des Guillemins qui embrassait l’ensemble de ces rues et la place que nous connaissons aujourd’hui, il a fallu plus d’une centaine d’années et bien des péripéties devant le Conseil communal de Liège. L’évolution de ce quartier est en effet tout à fait surprenante en regard de ce qu’il était sous l’Ancien régime ! La richesse de ce livre se trouve dans son contenu historique agrémenté de très nombreuses illustrations, pour la plupart inédites. Les différentes sources – trop peu connues – sont ici rassemblées, approfondies, et permettent d’inscrire l’histoire de la place dans une continuité et d’en mettre en exergue les connexions éventuelles. Place de Bronckart à Liège – petites et grandes histoires constitue une occasion parfaite de permettre la découverte du quartier à tous ceux qui s’y intéressent, ainsi que de rappeler au bon souvenir des Liégeois et Liégeoises une partie de leur histoire.
Olivier HAMAL est bien connu dans la vie liégeoise et s’est toujours montré intéressé par l’histoire de sa ville. Il est co-auteur de la monographie sur Paul-Joseph Carpay (1822-1892), peintre décorateur liégeois (2012), et du livre 175 ans au Passage Lemonnier (2014).
Avec le soutien de l'Institut du Patrimoine wallon