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Conversation avec une dessinatrice politique engagée Par MARTA LUCEÑO MORENOIl est de ces personnages qui marquent les imaginaires des peuples, qui, malgré eux, ou plutôt malgré l’intention initiale de leurs créateurs, se font les échos d’un contexte singulier et rencontrent un destin inattendu. D’abord imaginé par la dessinatrice tunisienne Nadia Khiari pour amuser ses proches, afin de simplement provoquer le rire au coeur d’une situation pour le moins difficile, le chat « Willis from Tunis » va devenir le symbole de la révolution de la dignité. Rapidement partagé sur les réseaux, le félin se fera tour à tour voix des Tunisiennes et Tunisiens, satire du gouvernement Ben Ali, étendard des libertés individuelles, critique sarcastique de l’autoritarisme et du fanatisme. Dans cet ouvrage, Nadia Khiari s’entretient avec Marta Luceño Moreno. Ensemble, elles discutent, complices, des pérégrinations de la dessinatrice et de son désormais fameux chat dont les neuf vies sont alors autant d’occasions, pour l’artiste féminine engagée, de traiter de son parcours, de son positionnement mais aussi des importants changements politiques qui ont secoué et ébranlent encore la Tunisie. Docteure en Information et Communication de l’ULiège et journaliste, Marta Luceño Moreno est actuellement post-doctorante à l’IRMC à Tunis. Elle s’intéresse aux féminismes, au genre et à la diversité sexuelle avec une approche intersectionnelle et décoloniale.
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Première approche Par ALAIN SERETQue serait notre monde, que serions-nous nous-mêmes sans les phénomènes électriques et magnétiques? Ils sont omniprésents, de l’agencement microscopique de la nature à la régulation de la vie. L’homme les a domestiqués et les exploite plus que largement. C’est à une première approche de l’électromagnétisme que convie cet ouvrage. Elle est rédigée dans l’esprit d’une lecture active et non passive. Les faits physiques et les divers modèles théoriques qui ont été élaborés pour les interpréter sont présentés, le cheminement historique est rappelé au travers de compléments clairement individualisés. Le texte est régulièrement interrompu par des questions qui se veulent formatives, en amenant le lecteur à mettre en oeuvre ou à s’interroger sur ce qui vient de lui être exposé. Il est essentiel de s’arrêter sur ces questions et d’y répondre avant de poursuivre car le plus souvent elles préparent à ce qui les suit. Des phrases lacunaires, des questions à choix multiples et des exercices permettent une première auto-évaluation des connaissances acquises et la mise en pratique des principales notions abordées dans le texte. Un formulaire complète l’ouvrage. Le lecteur est supposé avoir quelques connaissances de base en mécanique. Alain Seret est licencié en sciences physiques, docteur en sciences et participe à l’enseignement des bases de la physique et de l’imagerie médicale en Faculté de Médecine, Faculté de Médecine vétérinaire et Faculté des Sciences à l’Université de Liège depuis 1999. Son domaine de recherche est celui de l’imagerie médicale et plus particulièrement de la médecine nucléaire.
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Première approche Par ALAIN SERETNous sommes constructions d’atomes, structures infimes issues de l’organisation particulière de protons, neutrons et électrons. Notre connaissance de ce monde microscopique résulte largement d’échanges avec lui de tenus paquets d’énergie dénommés photons. C’est à la découverte des lois physiques déroutantes qui gouvernent ces êtres microscopiques qu’est consacré cet ouvrage. Il promène ainsi le lecteur dans la physique quantique, la spectroscopie et la physique nucléaire en lui proposant une lecture active et non passive. Les faits et les divers modèles théoriques qui ont été élaborés pour les interpréter sont présentés, le cheminement historique est rappelé au travers de compléments clairement individualisés. Le texte est régulièrement interrompu par des questions qui se veulent formatives, en amenant à mettre en oeuvre ou à s’interroger sur ce qui vient d’être exposé. Il est essentiel de s’arrêter sur ces questions et d’y répondre avant de poursuivre car le plus souvent elles préparent à ce qui les suit. Des phrases lacunaires, des questions à choix multiples et des exercices permettent une première auto-évaluation des connaissances acquises et leur mise en pratique. Un formulaire complète l’ouvrage. Le lecteur est supposé avoir quelques connaissances de base en mécanique et électromagnétisme. Alain Seret est licencié en sciences physiques, docteur en sciences et participe à l’enseignement des bases de la physique et de l’imagerie médicale en Faculté de Médecine, Faculté de Médecine vétérinaire et Faculté des Sciences à l’Université de Liège depuis 1999. Son domaine de recherche est celui de l’imagerie médicale et plus particulièrement de la médecine nucléaire.
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A review of 2018 par C. ZICKGRAF, T. CASTILLO BETANCOURT, E. HUT (eds.)Edited by The Hugo Observatory of the University of Liège, this volume is the ninth in the annual series and the fourth of its kind published with the Presses Universitaires de Liège. The State of Environmental Migration aims to provide its readership with the most updated assessments on recent events and evolving dynamics of environmental migration throughout the world. Each year, the editors select the best graduate student work from the course “Environment and Migration” taught by Caroline Zickgraf at the Paris School of International Affairs (PSIA) of Sciences Po. In this edition, the effects on migration and displacement of some of the most dramatic disasters of 2018 are studied, including the Sulawesi earthquake and tsunami in Indonesia, Hurricane Florence and Camp Fire (which was the deadliest and most destructive wildfire in California’s history) in the United States, and the Volcán de Fuego eruption in Guatemala. The relationship between progressive environmental changes and migration in the Nepalese Hindu Kush Himalayas, and the effects of armed conflicts on the prevention and management of disaster-induced displacement in Afghanistan are also analysed and discussed. Caroline Zickgraf is Deputy Director of the Hugo Observatory as well as Post-doctoral Fellow with the Belgian Fund for Scientific Research (F.R.S.-FNRS). Tatiana Castillo Betancourt is Research Assistant at the Hugo Observatory. Elodie Hut is PhD candidate at the Hugo Observatory.
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Première approche par Alain SERET
La lumière nous est source constante d’information et de plaisir visuel. L’homme l’a très tôt étudiée, il ne se prive pas de l’utiliser tout azimuth, y compris pour sonder le plus profond de la matière ou l’univers, faisant de l’optique une discipline essentielle de la technologie moderne. C’est à une première approche de l’optique rédigée afin d’amener à une lecture active et non passive qu’est consacré cet ouvrage. Les faits physiques et les divers modèles théoriques qui ont été élaborés pour les interpréter sont présentés, le cheminement historique est rappelé au travers de compléments clairement individualisés. Le texte est régulièrement interrompu par des questions qui se veulent formatives, en amenant le lecteur à mettre en œuvre ou à s’interroger sur ce qui vient de lui être exposé. Il est essentiel de s’arrêter sur ces questions et d’y répondre avant de poursuivre car le plus souvent elles préparent à ce qui les suit. Des phrases lacunaires, des questions à choix multiples et des exercices permettent une première auto-évaluation des connaissances acquises et leur mise en pratique. De brèves annexes et un formulaire complètent l’ouvrage. Le lecteur est supposé avoir quelques connaissances en électromagnétisme, principalement les notions de champ électrique et de champ magnétique.
Alain SERET est licencié en sciences physiques, docteur en sciences et participe à l’enseignement des bases de la physique et de l’imagerie médicale en Faculté de Médecine, Faculté de Médecine vétérinaire et Faculté des Sciences à l’Université de Liège depuis 1999. Son domaine de recherche est celui de l’imagerie médicale et plus particulièrement de la médecine nucléaire.
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Repenser l'intervention sociale par DIDIER VRANCKEN
En quelques décennies à peine, nous avons assisté à une curieuse inversion de sens : les personnes précarisées n’apparaissent plus seulement comme les plus vulnérables parmi les plus vulnérables, frappées par le sort et la malchance. Elles sont désormais perçues comme une véritable charge pour la société. Un peu partout en Europe, des voix s’élèvent pour ne plus «payer» pour ces personnes tant elles leurs apparaissent incapables de produire les efforts nécessaires pour s’intégrer au marché de l’emploi, aux valeurs et à la culture des autochtones. Montée des inquiétudes, repli identitaire, peur de l’autre, émergence de véritables démagogues autoritaires, montée des populismes. Comment en sommes-nous arrivés là ? Que s’est-il produit pour que nous assistions aujourd’hui au rejet de ces publics, ces nouveaux «barbares», allant jusqu’à les invisibiliser, alors qu’ils sont parmi nous, au coeur même de la cité ?
Président d’honneur de l’Association internationale des sociologues de langue française, Didier VRANCKEN est Professeur à l’Université de Liège où il dirige la Maison des Sciences de l’Homme.
Ouvrage co-édité avec les Éditions ies
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Stock épuisépar LIÉGE GAME LAB
Le jeu vidéo est une pratique culturelle qui s’inscrit désormais dans notre quotidien. Déjà étudié depuis plusieurs décennies dans le monde anglo-saxon, il a plus récemment fait son entrée comme objet de recherche dans les universités francophones. Dans ce volume, le Liège Game Lab propose, à travers huit courts textes, de multiples éclairages tant sur le jeu lui-même que sur les pratiques qui lui sont associées.
Créé en janvier 2016, le LIÉGE GAME LAB rassemble les chercheurs et chercheuses de l’Université de Liège travaillant sur le jeu vidéo comme objet culturel.
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Un regard des acteurs sur leurs pratiques par Olgierd KUTY, Frédéric SCHOENAERS, Christophe DUBOIS, Baptiste DETHIER
Dans nos sociétés en réseaux qui se caractérisent par un pluralisme normatif, on peut faire société sans partager des valeurs communes. Le fonctionnement des institutions scolaires illustre les nouveaux modes de régulation des tensions, de la diversité, de l’intégration, etc. désormais à l’œuvre. C’est dans ce contexte que le concept de médiation a fait son apparition dans nos écoles, comme dispositif d’apaisement ou de maintien du lien social. La diffusion de tels dispositifs doit beaucoup à la création de services centraux puis locaux de médiation, tout comme au travail de nombreux médiateurs qui ont progressivement investi le champ scolaire. En présentant une enquête approfondie sur la culture professionnelle des médiateurs scolaires, cet ouvrage analyse aussi le développement de leur fonction et son processus de diffusion.
Olgierd Kuty, Frédéric Schoenaers, Christophe Dubois et Baptiste Dethier sont chercheurs au Centre de Recherche et d’Interventions Sociologiques de l’Université de Liège (Cris). O. Kuty, Professeur émérite, est auteur de La négociation des valeurs (De Boeck, 1998). F. Schoenaers, Professeur ordinaire, a dirigé (avec C. Dubois) Penser la négociation (De Boeck, 2008). C. Dubois, Chargé de cours, a publié La justice réparatrice en milieu carcéral (P. U. Louvain, 2012). B. Dethier est docteur en sciences politiques et sociales et conseiller scientifique au fnrs.
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par Rachel BRAHY et Élisabeth DUMONT (dir.)
D-I-V-E-R-S-I-T-É. Neuf lettres pour écrire un mot et bien plus qu’un mot : un enjeu fondamental de la vie en société. Égrenant chaque lettre de ce concept autour d’un chapitre spécifique, cet ouvrage est construit sur le principe du dialogue, du regard croisé à chaque fois posé entre un chercheur et un acteur spécialiste du terrain. Neuf mots, neuf concepts sont alors abordés pour éclairer cette diversité autour de thèmes : Discrimination, Intégration, Vie sociale, Extrême droite, Racisme, Stéréotype, Immigration, Territoire, Ethnicité et Classes sociales. Autant de mots souvent entendus, parfois galvaudés qui se retrouvent ici interrogés, débattus et argumentés, sous un regard neuf et original, à partir d’une approche interdisciplinaire. Tour à tour, le thème de la diversité est présenté au défi de sa gestion et de sa gouvernance, renvoyé à la question de la justice sociale, interpellé par la montée des peurs et des dérives les plus sombres. Liés aux tensions entre le social et l’économique, au poids des normes, à la question des identités, au jeu des oscillations entre visibilité et invisibilité, aux jeux de pouvoir et à la perte de souveraineté des États, les enjeux abordés et les niveaux de lecture sont multiples. Ils se laissent alors approcher pas à pas, pour mieux en saisir la dynamique.
Docteure en sciences politiques et sociales, Rachel BRAHY est actuellement coordinatrice scientifique de la Maison des Sciences de l’Homme (MSH) et maître de conférences en Faculté des Sciences Sociales de l’Université de Liège.
Maître en relations internationales et développement, Élisabeth DUMONT est actuellement conseillère stratégique et gestionnaire de projets interculturels à la Ville de Liège et vice-présidente de la coalition européenne des villes contre le racisme de l’UNESCO.
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Les architectes face aux imaginaires de la friche de Bavière
par Pavel KUNYSZ - Préfacier : Yves WINKIN
Si la ville est faite du croisement d’individus et d’actions, de ses pavés et de ses briques, comment penser les friches ? Ces « vides », accrocs dans le tissu bâti. Le lieu rasé, son histoire oubliée, l’échec de l’œuvre urbaine serait-il signé ? En retraçant l’histoire sociale de la friche de Bavière, cet ouvrage vise d’abord à révéler à quel point ces « vides » sont « pleins ». Pleins de vestiges d’un passé persistant ; pleins aussi d’une variété de représentations de ce lieu et de sa transformation, mêlant passés semi-remémorés et accumulation de futurs hypothétiques. Est alors interrogé le rôle des architectes dans la (non) perpétuation de ces représentations. Les concepteurs de nos lieux de vie, aux prises avec leurs propres contraintes, s’avèrent-ils incapables de maîtriser et de saisir ces mécanismes ? Quelles (autres) attentes peut-on nourrir quant à la responsabilité sociale et politique de ce métier?
Pavel KUNYSZ, architecte et sociologue; animateur et rédacteur au sein de l’ASBL urbAgora pour le débat citoyen sur la ville.
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A review of 2017 par Caroline ZICKGRAF, Elodie HUT, François GEMENNE (eds.)
This volume is the eight in the annual series and the third of its kind published with the Presses Universitaires de Liège. The State of Environmental Migration aims to provide its readership with the most updated assessments on recent events and evolving dynamics of environmental migration throughout the world. Each year, the editors select the best graduate student work from the course “Environment and Migration”, taught by François Gemenne and Caroline Zickgraf at the Paris School of International Affairs (PSIA) of Sciences Po. Presented in this edition are displacements induced by some of the most dramatic disaster events of 2017, including Hurricane Irma and Cyclone Enawo, as well as analyses of migration flows related to a variety of environmental occurrences throughout the year spanning the globe. SEM 2018 thus represents another stepping stone towards understanding how the adverse effects of climate change and disasters alter migration patterns.
Caroline ZICKGRAF is the Deputy Director of the Hugo Observatory as well as Post-doctoral Fellow with the Belgian Fund for Scientific Research (F.R.S.-FNRS).
Elodie HUT is a Research Assistant at the Hugo Observatory.
François GEMENNE is the Director of the Hugo Observatory at the University of Liège, where he is a senior research associate with the Belgian Fund for Scientific Research (F.R.S.-FNRS).
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Échanges et réflexions à partir de Liège par Rachel BRAHY, Élisabeth DUMONT, Pierre FONTAINE et Christine RUELLE (dir.)
Regarder la ville. Encore. Inlassablement. Se laisser traverser par ses images, démultiplier les regards. Après tout, comme l’écrivait Baudelaire, « la forme d’une ville change, hélas, plus vite que le coeur d’un mortel». Prenant au sérieux l’enjeu de la fabrique quotidienne de la ville, cet ouvrage assemble des lectures décalées où le décryptage des mots s’offre comme autant de « paires de lunettes » successives. Vingt-trois acteurs de terrain et chercheurs « liégeois » aux compétences diverses ont été invités à dialoguer par groupes de deux ou trois pour produire les différents chapitres qui composent ce volume. De manière inédite, il leur a été demandé de partager leurs points de vues. Ceux-ci constituent des éclairages croisés sur des problématiques urbaines à la fois localisées et plus générales. Les récits et analyses portent sur neuf qualités régulièrement attendues et entendues d’une ville contemporaine « digne de ce nom », à savoir la ville 1) co-produite, 2) inclusive, 3) multi- interculturelle, 4) créative, 5) artistique, 6) commerçante, 7) dense, 8) intelligente ou 9) verte. À travers ces qualificatifs qu’ils interrogent, déconstruisent ou débattent, les auteurs abordent de nombreux aspects transversaux de la « fabrique de la ville » : le pouvoir, l’argent, l’identité et les identités, l’accessibilité, les échelles d’intervention… Le tout se réfère à des réalités et des enjeux considérés comme pertinents pour l’aire urbaine de Liège. Cette entreprise singulière d’analyse et d’écriture donne donc à voir (et à revoir) des mots et une ville en perpétuelle mutation.
Rachel BRAHY, Docteure en sciences politiques et sociales, Maison des Sciences de l’Homme de l’Université de Liège et chercheure F.R.S.-FNRS. Élisabeth Dumont, Conseillère stratégique et gestionnaire de projets interculturels à la Ville de Liège ; vice-présidente de la coalition européenne des villes contre le racisme de l’Unesco.
Pierre FONTAINE, conseiller en urbanisme, logement et développement territorial à la Ville de Liège.
Christine RUELLE, Chercheuse senior en urbanisme et aménagement du territoire à l’Université de Liège, Laboratoires Lema - Urban and Environmental Engineering Department et Lepur.
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par Jacques ARON
En raison de leur destin singulier, les populations juives occupent dans l’imaginaire des peuples une place inversement proportionnelle à leur importance numérique. Voici près d’un siècle et demi, que le néologisme « antisémitisme », succédant à l’expression « question juive » et à la problématique de l’« émancipation des Juifs », est entré dans le langage courant, et s’est répandu d’un pays à l’autre pour désigner une forme de haine ethnique, de xénophobie, dont le caractère prétendument naturel a favorisé l’inflation sémantique, se projetant du passé le plus lointain vers l’avenir le plus incertain. Cet essai tend à lui rendre ses dimensions historiques, en rappelant le rapport permanent que la langue entretient avec les autres aspects de la réalité, avec les conditions matérielles d’une humanité en constante mutation. Il en analyse les nuances, notamment chez les auteurs qui ont voulu en écrire l’histoire, tels Edmond Picard, Bernard Lazare et Léon Poliakov. Il questionne la nature de leur démarche, entre théologie et discours politique, entre idéologie et contribution aux sciences sociales.
Jacques ARON (Anvers, 1933) est architecte et urbaniste. Il a enseigné l’histoire et la théorie de ces disciplines. Il est professeur honoraire de l’Enseignement supérieur. Issu d’une famille d’émigrés juifs d’Europe centrale et orientale, il a depuis vingt ans consacré plusieurs ouvrages à la condition juive, particulièrement dans les pays de culture germanique. Il a traduit et présenté deux philosophes allemands d’origine juive persécutés par le nazisme, et analysé le principal dictionnaire étymologique allemand conçu comme un projet linguistique national-socialiste.
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Exercices-Série B par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Ingénieurs de Gestion
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Énoncés des exercices par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Sciences économiques et de Gestion
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par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Ingénieurs de Gestion
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par HENRY, Valérie BLOC 1 du grade de Bachelier en Sciences économiques et de Gestion
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par DEFOURNY, Jacques BLOC 1 du grade de Bachelier en Information et Communication, Sciences politiques BLOC 1 du grade de Master en Communication multilingue
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Exercices par HAESBROECK, Gentiane BLOC 1 du grade de Bachelier en Ingénieur de Gestion